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Questions d'eau : les interrogations de ENE

Ce sont 2 belles usines liées à l’eau, et qui vous appartiennent...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’une est à Arnières sur Iton et « lave » 15.000 m3 d’eau par jour (voir la Dépêche du 31 Mars 2022)

 

L’autre est à Gravigny et traite les eaux usées de l’agglomération avant qu’elles soient rejetées à l’Iton.

 

L’une et l’autre ont d’autres caractéristiques en commun

 

- elles ont toutes deux 10 ans d’existence,

- elles sont en sous-capacité notoire depuis 10 ans,

- elles ont servi de prétexte à l’augmentation du prix de l’eau sur Évreux, il y a plusieurs années déjà.

 

 

 

- On pourrait penser que 10 ans auraient suffi pour distribuer plus largement l’eau potabilisée à Arnières sur Iton et mieux amortir les 24 millions d’euros qu’elle a coûté à l’usager … Mais, il semble que ça ne soit pas le cas !

Les abonnés du Val David et des communes alentour reçoivent-ils la belle eau propre d’Arnières, ou toujours celle de leur vieux forage des champs ?

 

Quel traitement subit leur eau ? Quel prix la paient-ils ?

 

Devinez !

 

 

 

- Même constat pour l’usine de traitement de Gravigny : depuis 10 ans, le rejet de l’hôpital de La Musse et des maisons autour, finit toujours dans l’Iton, au plus près de l’hôpital, au lieu d’être dirigé sur Gravigny, et la belle usine sur-dimensionnée, comme c’était prévu.

 

 

 

 

Pourquoi ? L’argent pardi !

 

Ça coûte de raccorder les usagers à une usine ! Ça signifie des tuyaux

et des tranchées comme on le voit actuellement pour la descente de St Sébastien !

 

 

D’accord, mais 10 ans !

 

D’accord, mais la Déviation, entre-temps, en a coûté des millions qui auraient pu

servir à « finir le boulot » commencé pour l’eau et l’assainissement …

 

Mais il en a été décidé autrement, et le résultat ce sont 2 belles usines

sous-employées et … une belle augmentation de prix pour les usagers !

 

 

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